La mer est lasse
D'être trop basse
A frôler l’aile d’un goéland.
Elle aurait préféré le vent.Celui qui lève
Et qui soulève,
Vous porte là, loin de l’étale
Dans une poussée, forte et fatale.
Claquement d’aile du goéland,
Soulevé lui aussi par le vent.
La mer est basse,
La mer est lasse,
Elle m’a cédé sa place, hélas.
Valmu
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Prends un billet pour Lahssa trés vite! je crois que je devrais en faire autant! Mais Bali me tenterait davantage! J'aurais besoin de voir la mer!
RépondreSupprimerEh vous deux, vous serez d'accord pour m'emmener ?
RépondreSupprimerTrès beau poème au demeurant.
Bien sûr ! D'abord Lhassa, un peu d'escalade et de méditation pour finir au bord de la mer dans un avant-goût de l'image qu'on se fait du paradis.
RépondreSupprimerA vos agendas !
Ceci-dit, ne prenez pas toujours au pied de la lettre tous mes écrits. Mais il est vrai que je m'exprime parfois mieux dans la tristesse que dans la joie. Elle, j'en profite quand elle se présente, simplement, et souvent dans le partage direct plutôt que dans l'écriture.
Bises
Tout le monde sait que c'est derrière un masque de clown que se cache les gens tristes!
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