Cheveux battants, regard d’océan.
De la falaise, les embruns volés.
Parfum des fleurs, mais fleur de sel
Par ceux et celles
Qui le goût des larmes voulaient garder.
[La falaise - Brigitte Pellerin]
Parfum du ciel, brise de plaisir.
Puisse le vent ne pas faiblir !
Cap au large, vagues fendues
Pour retrouver les émotions perdues.
Les yeux à la lune, revoir l’écume,
Chevaucher l’onde, faisant fi de la brume.
[bateau dans la tempête - William Turner]
Parfum de terre, mer de blés.
Houle capricieuse et dorée
Qui m’émerveille
Et me réveille
Comme un épouvantail décoiffé.
Ciel aurais-je rêvé !
Valmu 2009
[Champs de blé - Vincent Van Gogh]
Superbe!
RépondreSupprimerOui, superbe ! Le poème est de ton cru, Valmu ?
RépondreSupprimerJe prends le Van Gogh sans aucune hésitation (évidemment).
RépondreSupprimerAlors là, je te le laisse volontier! D'abord, je ne suis pas une fana de Van Gogh, et puis, t'as pensé au cout de l'assurance que tu devras payer Lulu?
RépondreSupprimerMoi aussi , j'aime beaucoup Van Gogh ! Cela n'est pas pour te surprendre, hein, Lulu ? Pour l'assurance, t'en fais pas, je la prendrai en charge s'il le faut. Je viendrai voir le Van Gogh de temps en temps.
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